L’antispécisme ou le déni de réalité.

1729 Views
Temps de lecture :4 Minutes, 3 Secondes

Le véganisme ou l’antispécisme, c’est comme réduire l’existence de l’humanité à 24 heures et vouloir tout changer à cause des 3 dernières minutes…

Mais pas besoin d’être médaille d’or de Mathématique pour savoir que si A=B, alors B=A. Autrement dit, si on accepte que les animaux soient des personnes, il faut donc aussi accepter que nous soyons des animaux. Si les animaux ont le droit de prédater, nous refuser ce droit c’est donc faire preuve de spécisme, le comble pour un antispéciste, vous en conviendrez.

Notre corps dans son ensemble est façonné par et pour la chasse à l’épuisement, nos pieds, notre peau, notre squelette, notre capacité pulmonaire. Donc tout cela c’est des débats que l’on ne devrait même pas avoir, quelle perte de temps.

Quand l’homme ne sait plus où il va, il doit regarder d’où il vient. Et non pas s’inventer une nouvelle réalité qui lui donnerait bonne conscience.

Nous ne disons pas qu’un homme capable de mettre un coup de masse sur le crane d’un porc pour nourrir sa famille vaut mieux qu’un homme que cela ferait pleurer, mais il nous paraîtra quand même bien plus équilibré.
Quand on connaît la mort, on apprend à respecter la vie et ce qu’il y a dans son assiette.

Le veganisme c’est le refus de vivre dans la réalité, une conséquence du syndrôme de Peter Pan, du syndrôme de Noé et du syndrôme du messie cumulés, dans un déni du monde tel qu’il est vraiment.

Le veganisme c’est tout simplement le caprice d’enfants gâtés comme seul l’occident privilégié et déconnecté de la nature, pouvait se permettre d’en créer pour les uns ou un lucratif business pour les autres.

Le véganisme c’est une insulte à la vie, tout simplement…

Le Bushcraft signifie littéralement l’artisanat de la brousse. Il ambitionne le réapprentissage d’une vie prospère avec la nature, ainsi que l’acquisition de compétences plus ou moins anciennes pour y parvenir.

Le cuir, les peaux, la fourrure, les tendons, les os, la corne mais également le bois, la fibre végétale, les coquillages et la pierre sont les matières les plus nobles et les plus durables que l’homme n’ai jamais exploité.

Et si on ne l’avait jamais fait, on serait encore en train de se gratter les fesses au fond d’une grotte ou plus là du tout. Cette lointaine exploitation des matières premières renouvelables, c’est ce qui vous permet aujourd’hui d’être bien confortablement installés, votre portable à la main pour signer des pétitions inutiles, dans le berceau bien trop douillet visiblement, que vos ancêtres vous ont laissés.
Et si on en était resté là, avec une population encore capable de subvenir à leurs besoins fondamentaux, comme la chasse et la production végétale et animale, on aurait pas besoin de chercher le paradis dans des fables… N’en déplaise à tout les conteurs…

La chasse est la mère protectrice de l’agriculteur et son père c’est notre estomac.

Plus de publications
Partage
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
Close
Social profiles